Le grand bluff

Publié le par Jean-Pierre

Ce bluff à commencé à la fin des années 80.

Mettre les centrales électriques thermiques en accusation sur le réchauffement climatique.

En accusant le CO2 comme élément augmentant l’effet de serre cela permettait de dédouaner les  centrales nucléaires et de faire oublier Tchernobyl.

Mais voila dans l’atmosphère terrestre le CO2 représente 4 dix millième de l’air, très difficile à démontrer, pour cela le GIEC a exploité une multitude de calculs, à négligé ce qui lui était défavorable, utilisé des hypothèses inventées par eux même, et même bloquer une étude sur la formation des nuages par le rayonnement cosmique d'une équipe Norvégienne.

Ces calculs devenant incompréhensibles pour certains scientifiques donc complètement obscures pour nos hommes politiques et nos journalistes.

 

Et pourtant la solution qui permet de vérifier l’authenticité de 4 dix millième de CO2 est simple puisque nous avons dans le système solaire une planète qui possède presque entièrement une atmosphère de CO2. (96%)

 

Nous trouvons par le calcul, voir (Comparaison entre Terre et Mars) de mon blog www.co2mensonge.com  que la planète Mars possède 25 fois plus de molécules de CO2 que l’atmosphère terrestre et a un effet de serre très proche de zéro.

 

Chercher l’erreur.

 

Combien d’ingénieurs et combien d’heures de travail à-t-il fallu pour trouver de l’effet de serre à ces malheureux 400ppm de CO2 sur terre par le GIEC.

 

Quand je pense que monsieur Jean Jouzel était directeur d’un service au Commissariat à l’Energie Atomique, j’espère que les autres directeurs du CEA sont un peu plus sérieux, car sinon je conseillerais aux habitants proches des centrales nucléaires de déménager.

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